Sommes-nous encore français ? Face à un président qui n’aime pas les Français ni la France et qui en souhaite la dissolution dans le magma européen, la question n’est pas simplement anecdotique. Elle se pose tous les jours dans les faits.
Communication en anglais dans les médias et pas les hommes politiques. Voir mon article à ce sujet.
Poids de plus en plus important de la Cour de Justice européenne qui intervient régulièrement dans des affaires strictement françaises et dont les décisions font autorité. Aujourd’hui dès qu’un justiciable a épuisé toutes les voies de recours offertes par la justice française, il s’adresse à la justice européenne pour faire trancher le débat. Dernier exemple en date, celui de Sarkozy qui a annoncé qu’il ferait appel aux instances européennes si sa condamnation était confirmée dans l’affaire de sa tentative de corruption.
Un nouvel exemple vient de nous en être donné au sujet du vaccin d’Astrazeneca. Ce dimanche 14 mars, notre Premier ministre annonce que ce vaccin est sûr et efficace et que les vaccinations vont se poursuivre activement (Position parfaitement logique au vu du million de sujets britanniques vaccinés avec ce vaccin sans aucun effet secondaire significatif). Aujourd’hui, mardi 16 mars, notre Président prend la décision d’en arrêter l’utilisation sur la base de la recommandation de l’Agence européenne du médicament. Faut-il dans ces conditions faire l’économie de l’Agence française du médicament puisque le gouvernement ne prend en compte que les avis de l’agence européenne ?